Aujourd’hui nous allons uniquement nous attarder sur les domaines dans lesquels nous faisons un effort que je qualifierais de laborieux. Ceux où nous avons vraiment la notion d’effort, où c’est pénible. Le but est de déterminer quelles sont les peurs qui nous poussent à faire ces efforts.

Une année de prises de conscience avec Écoute Ton Corps, jour 242.
Semaine 35, jeudi.
Pour ceux qui préfèrent écouter ou regarder, la même chose en vidéo ci-dessous.

Des peurs, OK… mais qu’en faire ?

A chaque fois que nous nous posons la question de déterminer quelles sont les peurs qui nous poussent à agir, qui nous poussent à avoir certains comportements, etc. le tout est de venir les identifier et puis de les réinterroger.

Sont-elles toujours valables pour moi ? Ont-elles toujours un intérêt pour moi ? Nous pouvons éventuellement savoir si elles nous ont été transmises par nos parents ou par toutes les figures tutélaires que nous avons eu au cours de notre vie. Et cela sert uniquement à ça: les remettre en question.

Savoir si c’est quelque chose que nous avons appris, qui nous a été transmis, ou si c’est quelque chose qui vient de notre expérience nous donne des éléments. Cela nous permet de mieux les appréhender.

Est-ce utile de savoir d’où cela vient ?

En fait non. Nous pouvons même éviter de nous poser la question. Quoi qu’il arrive, d’où que cela vienne, j’ai visiblement cette peur-là, aujourd’hui, dans ce contexte-là.

Commencer à en discuter… avec nous-même

Est-ce que, pour moi aujourd’hui, j’ai l’impression que c’est toujours utile d’avoir cette mise en garde, cette vigilance, cette alerte qui est là ?

Si la réponse est oui, bah très bien. Essayez peut-être de diminuer l’intensité de la conséquence de cette peur afin qu’elle ne vous empêche pas d’avancer, d’agir, de faire ce que vous avez envie de faire.

Et si vous pensez que c’est devenu complètement inutile, que c’est devenu juste une entrave pour vous et que vous ne voyez plus du tout le fondement aujourd’hui d’avoir ce signale d’alerte ? Hé bien, à partir de là, vous pouvez le déconstruire petit à petit. Quand cette peur se manifeste dans ce contexte-là, lui vous dire que “OK, je note ça. Mais ça c’est un réflexe, quelque chose que j’avais acquis auparavant, et aujourd’hui ce n’est plus utile pour moi.“. “Donc, je note ça. La prochaine fois, je m’en ferai moins, je ne m’en ferai plus.

Et vous avancez. Vous pouvez aller au-delà. Cela va vous libérer. Libérer votre pouvoir, votre potentiel et vous permettre de sortir plus facilement de votre zone de confort. Parce que si, aujourd’hui, vous n’avez plus besoin de cette peur, cela veut dire que votre zone de confort s’est élargie. Alors prenez-en pleinement possession et, profitez-en même pour allez au-delà.

Bon, c’est un mécanisme que nous avons déjà vu à plusieurs reprises donc je ne m’étends pas plus dessus. Comme chaque jour, je vous souhaite une belle journée et, surtout, prenez soin de vous.

Vivez vous aussi l’expérience du livre Une année de prises de conscience avec Écoute Ton Corps de Lise Bourbeau:


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